3.25.2010

Toujours dans ma folle routine de nettoyeur dans les sommets, je vous lègue les dernières perles locales:
Comme je l'ai brievement écris sur ce blog il y à quelques temps, je m'occupes le samedi soirs de faire danser les "couches tards" du coins [la notion de "tard" est évidemment à relativiser, quand il reste trois personnes aprés minuit, pendues à leurs verres de bière, c'est louche].

Mais ça c'était avant! Avant que J.J, le boss himself vienne apprécier la qualité de ma selection musicale!

Donc ce samedi il m'a promis de l'action, HUGE party! Voilà qui devient interessant, jme languis de voir ça!! Et si jamais c'est de la folie furieuse, premièrement vous en aurez la preuve en image, deuxiemement, vous en aurez la playlist pour essaier l'artifice chez vous [ou comment maintenir un lectorat attentif :-) ]

Ceci étant, c'est du prospectif, ça ne vaut rien pour l'instant, soit. Laissez moi me rattraper en vous contant le premier "black out" de Hanmer Springs [c'est du frais, ça date d'hier]:
Mardi 23 mars 2010, je fini ma sieste logé dans MON hamac sous un soleil des tropiques, pas un nuage à l'horizon, joie & allegresse pour me mettre sur la route du boulot. J'enfourche mon fidèle déstrier 125cc, et hop à califourchon pour le "centre ville".

Il est 18h, toujours un ciel immaculé d'aucune accumulation vapeureuse [pas d'nuage quoi], et j'enfile ma chemise à l'éfigie du resto pour appliquer selon l'enseignement de mes maîtres, la divine gestuelle rotative propre aux pratiquant de la plonge chinoise de la troisième dinastie. Ceci durant 3heures qui m'emmene à la fin du rush, et au début de ma pause "cigarette" (je ne fume pas, mais ne pas avoir de pretexte à une pause n'en vaut pas une).

Et que vis-je par dessus la tole ondulée de l'arrière boutique??! Une vague nuageuse d'un sombre profond à l'infinie, digne de la scène finale de James & la grosse pêche, où le rinhocéroçe nuageux arrive sur la pêche en plein ciel... du grand cinéma. Rien qui vale une excuse à ne pas reprendre le boulot, c'est donc via mes supers oreils que se ferra le grand défilé:

Grêle monstreuse [deux pares-brise repris par les dieux, des moutons blessés, et la une des journaux locaux], suivis d'un vent de fin du monde [spécialement quand t'es pret de la hotte d'expiration] qui donnait la cadence à une pluie torrentielle qui a innondé plus d'une femre en pleine, et qui à fait sortir du lit toutes les sages petites rivières des environs, ambiances.

Tant et si bien que le générateur de la ville, sans doute un peu vieux, n'a pas resisté à toutes ces émotions météorologiques, et est partis dans un dernier voltage... R.I.P. Moi j'étais seul en cuisine en train de me battre avec ma vaiselle quand c'est arrivé, ça fesait vraiment film d'horreur, les seules lumières venant des éclairs, des clients qui erraient les yeux rouges les bras tendus en avant, j'ai même vu des vélociraptors trainer derrière le bar et un diplodocus en plein tonaux passer devant le resto, surréaliste...

Une fois ce joyeux bordel terminé [soit environ 20 minutes plus tard, j en'allais pas attendre la lumière pour rejoidre ma tente, et je fus donc la seule source lumineuse de la ville [y'aurait eu une voiture on aurait été deux, mais personne pour me piquer l'exclu à ce moment là, vraiment une drôle d'impression de ville fzntôme, avec la pleine lune qui se dégagait de derrière les nuages.

Vous comprendrez que j'ai clairement étaler un "incident", vu que le reste est assez perso, et ne vous aurait sans doute pas fait vibrer comme l'a dut le faire ce rapport sur là première coupure générale de cette ville, trop dingo.

[Losrque j'étais à Westport, j'ai "assisté" au premier meurtre depuis des décennies, d'une homme qui en tuait un autre, du jamais vu pour Shawn & Julie? ndlr]




La "Vague", prise pendant ma pause cigarette:




:-)

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